Et si les bâtiments se racontaient - Circuit historique et architectural de Vaudreuil-Dorion

 

Ancienne station de pompe à incendie

Ancienne station de pompe à incendie. © Bernard Bourbonnais – Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, 2017.
Ancienne station de pompe avec le clocher de l’église Saint-Michel en arrière-plan. © Bernard Bourbonnais – Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, 2017.
Ancienne station de pompe et le 14, rue Léger. © Bernard Bourbonnais – Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, 2017.
L’ancienne station de pompe avec sa tour de séchage d’origine, vers 1928. © Bibliothèque et Archives nationales du Québec, E6,S7,SS1,P28627.
Pompiers et leur camion de marque Chevrolet devant la station, vers 1940. © Germaine St-Denis, Centre d’archives de Vaudreuil-Soulanges, Fonds Germaine Saint-Denis, P28.
Station de pompe de Vaudreuil (vue du clocher de l’église Saint-Michel), janvier 1947. © Centre d’archives de Vaudreuil-Soulanges, Fonds Paroisse Saint-Michel de Vaudreuil, M18/A1,3.273.
Station de pompe avec tour de séchage allongée, 1982. © Groupe Harcart.
Photographie de famille (Castonguay) avec la station de pompe en arrière-plan. Prise de l'allée de la maison du 15, rue Saint-Jean-Baptiste (Léger) en 1971. © Archives Isabelle Aubuchon.
La station de pompe après sa conversion en garage et la disparition de la tour de séchage, 1982. © Groupe Harcart.
L’entreprise et la résidence du 14, rue Saint-Jean-Baptiste (rue Léger), 1982. © Groupe Harcart.

secteur Vieux-Vaudreuil et ancien village Saint-Michel de Vaudreuil

Nom actuel Aucun

Fonction à l’origine Station de pompe à incendie du village Saint-Michel de Vaudreuil

Adresse 14, rue Léger, Vaudreuil-Dorion

Date de construction 1921

Architecte, firme ou entrepreneur Joseph-Ovide Turgeon, architecte

Type architectural Non résidentiel et institutionnel

Statut Propriété privée

La station de pompe à incendie de Vaudreuil

Conçu à l’origine pour y accueillir la pompe à incendie (l’ancêtre du camion de pompier), cet ancien bâtiment municipal est l’un des rares exemples de ce genre qui existe encore aujourd’hui au Québec. Construite en 1921 à son emplacement actuel, l’ancienne station de pompe est la troisième à être bâtie à Vaudreuil1. Les plans de l’édifice sont réalisés par l’architecte montréalais Joseph-Ovide Turgeon (1875-1933)2. Délaissée graduellement en raison de ses dimensions modestes, la station de pompe à incendie n’est plus utilisée après la construction en 1974 de la caserne de pompiers située rue Jeannotte3. En 1982, la Ville de Vaudreuil vend l’ancienne station de pompe à un propriétaire privé qui possède le terrain voisin. Celui-ci convertit l’édifice en garage pour sa résidence principale4.

Testez vos connaissances

Le village de Vaudreuil possède sa première station de pompe à incendie dès 1857, le village de Dorion doit attendre en quelle année pour avoir la sienne?

Avant L’ancienne station de pompe avec sa tour de séchage d’origine, vers 1928. © Bibliothèque et Archives nationales du Québec, E6,S7,SS1,P28627.

Après Ancienne station de pompe à incendie. © Bernard Bourbonnais – Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, 2017.

Histoire

La « pompe à feu » de Vaudreuil et la première station de pompe de 1857

Avec la création le 12 avril 1850 de la municipalité de village de Vaudreuil5 et avec la fin du régime seigneurial en 1854, ce sont désormais les conseillers municipaux qui prennent en charge la destinée de la municipalité. Ces derniers adopteront plusieurs règlements afin d’offrir davantage de services à la population de Vaudreuil. Ainsi, le 2 février 1857, le conseil municipal décide d’acheter une « pompe à feu »6 afin de faciliter la lutte contre les incendies. Elle est construite par Antoine Lepage   « constructeur de pompe à feu de Montréal » pour la somme de 50 Louis7. Elle est livrée à Vaudreuil par les « chars du grand tronc » avec cinquante pieds (15,2 mètres) de boyaux8. Conséquemment, une première station de pompe à incendie est érigée en juillet de la même année afin d’abriter la pompe des intempéries. L'édifice de douze pieds carrés (3,7 mètres) et de neuf pieds de hauteur (2,7 mètres) est bâti sur un terrain donné par l’hôtelier Pierre-Chrysologue Pambrun et son père, Charles-Édouard9. Lors de la séance du conseil du 6 juillet 1857, Édouard Dion est nommé « Capitaine de la Compagnie de la pompe à feu » alors que l’ancien capitaine, Édouard Lemoine, devient le responsable de l’entretien de la pompe et des tuyaux pour une année. Il incombe également à Lemoine de choisir les hommes qui constitueront la compagnie de pompiers volontaires de Vaudreuil10. Notons qu’à cette époque, le maire et le secrétaire-trésorier de la corporation du village Saint-Michel sont respectivement Narcisse Valois (1786-1859) et Adolphe Moffatt (1825-1902)11.

La deuxième station de pompe à incendie (1888)

En 1888, probablement devenue désuète, la première station de pompe à incendie est remplacée par une nouvelle construction. L’édifice beaucoup plus volumineux est également déménagé sur les terrains de la fabrique de la paroisse Saint-Michel de Vaudreuil12. Comme le laisse supposer les cartes de l’époque et les informations recueillies dans différents procès-verbaux de la corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, la deuxième pompe à incendie a été construite sur le lot no 18 appartenant à la fabrique Saint-Michel et le côté de l’édifice faisait face à la rue Saint-Jean-Baptiste (maintenant, rue Léger)13. Le devis proposé par le conseil municipal de Vaudreuil lors de la séance du 10 mars 1888 fait mention d’une « bâtisse » de 22 pieds (6,7 mètres) de longueur par 14 pieds (4,3 mètres) de largeur par 10 pieds (3 mètres) de hauteur avec deux portes à battant de huit pieds (2,3 mètres) situées sur le devant14. Les portes seront peintes en rouge, les murs en blanc et la couverture en brun15. Lors de cette séance du conseil, le marchand Jean-Baptiste Bourque, dont le commerce est situé rue du Bois-Vert (avenue Saint-Charles), offre une deuxième pompe à incendie (beaucoup plus modeste) à la municipalité16. Depuis 1988, cette pompe est dans les collections du Musée régional de Vaudreuil-Soulanges17.

La troisième station de pompe à incendie

En 1921 survient un litige opposant la fabrique Saint-Michel et la corporation du Village quant à l’utilisation des deux places publiques situées en face de l’église.De sa propre initiative, le marguillier Joseph Lauzon demande à la municipalité d’enlever la station de pompe des terrains de la fabrique, et ce avant le mois de septembre18. Malgré le désaveu du marguillier par le curé Joseph-Octave Godin et après quelques tentatives de négociations infructueuses, le conseil municipal décide finalement d’acheter une partie d'un terrain voisin pour y construire une nouvelle station de pompe à incendie19.

Le 10 septembre 1921, la corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil achète du maître tailleur et marchand, Théophile Larivée, une partie du lot no 17, sans bâtiment, pour la modique somme de 300 $20. En échange, celui-ci demande que « la corporation lui cède la bâtisse qui sert actuellement à remiser la pompe à incendie »21. L’année suivante, Larivée est nommé capitaine de la brigade des pompiers volontaires22 (à ce sujet voir l’onglet Informations complémentaires - La brigade des pompiers du village Saint-Michel de Vaudreuil en 1922).

La nouvelle caserne de Vaudreuil et la vente de l’ancienne station de pompe de 1921

Puisqu’elle ne peut contenir plus d’un camion de pompier, l’ancienne station de pompe de 1921 est graduellement délaissée. De plus, avec la modernisation des équipements de prévention des incendies et l’augmentation de la population, il devient impératif de construire un nouveau bâtiment. En 1974, une caserne est érigée rue Jeannotte à côté du nouvel aréna bâti la même année23. Les plans de l’édifice, qui accueille également le poste de la police municipale, sont réalisés par l’architecte Julien Perron (1931) de la firme Angers & Perron et les travaux exécutés par la compagnie Alcide Ménard Limitée24.

En 1982, l’ancienne station de pompe à incendie de 1921 ainsi que le terrain sont vendus par la Ville de Vaudreuil au prix de 3 900 $25. Le nouvel acquéreur convertit l’édifice en garage et l’intègre à son entreprise située au 14, rue Léger26.

Architecture

La construction de la station de pompe de 1921

En septembre 1918, un rapport de P.-J. Jobin du Bureau du commissaire des incendies de la province de Québec mentionne les besoins en matière de lutte contre les incendies du village de Vaudreuil27. Sur la base de ce constat, et suite aux événements de 1921 quant à l’emplacement de la station de pompe et au déménagement probable de celle-ci, les membres du conseil municipal vont demander une aide financière pour la construction d’un nouvel édifice. Cette initiative semble avoir reçu un appui positif puisqu’une somme de 4 550 $ est accordée pour « établir dans cette municipalité un système à incendie moderne »28.

Les plans de l’architecte Joseph-Ovide Turgeon (1875-1933)

Les travaux de construction de la nouvelle station de pompe à incendie commencent rapidement, et ce, même avant l’achat officiel du terrain de Théophile Larivée par la corporation du village. Dès le début de septembre 1921, on fait transporter les pierres des champs qui serviront à établir la fondation du bâtiment29. Les plans de la station de pompe sont confiés à l’architecte montréalais Joseph-Ovide Turgeon30. Le choix de cet architecte n’est pas un hasard puisque le conseiller municipal qui s’occupe du dossier est l’architecte Siméon Brais (1886-1963). Celui-ci a assisté Turgeon lors de l’agrandissement du couvent des Sœurs de Saint-Anne à Vaudreuil cinq ans plus tôt (1916). De plus, Siméon Brais semble lui avoir préalablement soumis un croquis de la future station de pompe dont l’esquisse a été approuvée par le Bureau du commissaire des incendies31.

La station de pompe et sa tour de séchage

Joseph-Ovide Turgeon dessine une station de pompe typique de son époque32. Le bâtiment rectangulaire d’un étage et demi est recouvert de bardeaux de cèdre. La toiture à deux versants est recouverte de tôle à baguettes. À l’origine, il y avait deux portes à battants en façade surmontée chacune d’une imposte. Suite à l’achat du premier camion à incendie, les portes sont modifiées pour ne former qu’une seule ouverture permettant l’entrée et la sortie du véhicule sur la rue Saint-Jean-Baptiste (rue Léger). Au sud, l’édifice est doté en partie supérieure de trois petites fenêtres à douze carreaux. Puisqu’elle est située à la limite du terrain voisin, le côté nord de la station est dépourvu d’ouverture. L’élément caractéristique du bâtiment est bien sûr sa tour permettant de sécher et ranger les boyaux à incendie après leur utilisation. Située à l’arrière de l’édifice, l’architecte Turgeon la conçoit proportionnée à l’ensemble de l’édifice. Ce n’est que plus tard que l’on triple sa hauteur pour faciliter le séchage des boyaux. Cependant, à long terme, cette modification condamnera la tour de séchage puisque pour des raisons de sécurité, elle sera démolie en décembre 1982, quelques mois après la vente du bâtiment par la ville33.

Une construction difficile

Malgré les plans réalisés par l’architecte Joseph-Ovide Turgeon, il semble que la construction de la station de pompe soit difficile. Bien que les raisons ne soient pas précisées, l’avancement des travaux ne satisfait pas les membres du conseil municipal. Lors de la séance du 4 novembre 1921, il est décidé que « les hommes employés à la construction de la station de pompe de cette corporation soient remerciés de leurs services et que cette construction soit terminée par contrat »34. C’est Jean Lucas, dont la soumission est la plus basse (215 $), qui reçoit le mandat de terminer les travaux avant le 25 novembre35.

Personnages

Informations complémentaires

La brigade des pompiers du village Saint-Michel de Vaudreuil en 1922

Bien que l’histoire des services d’incendies de Vaudreuil-Dorion reste à faire, la description de la brigade des pompiers volontaires du village Saint-Michel de Vaudreuil en 1922 témoigne bien de la réalité du début du 20e siècle. Âgé de 56 ans, le maître tailleur Théophile Larivée devient le nouveau chef (capitaine) des pompiers de la municipalité36. Pour un salaire annuel de 25 $, il doit surveiller la nouvelle station de pompe construite un an plus tôt. Il doit aussi entretenir l’ensemble des appareils à incendie, nettoyer les boyaux et vérifier, une fois par mois, les raccords entre les sections.

 Pour l’aider à combattre les incendies, la brigade est composée de 12 autres hommes du village exerçant des métiers de tout ordre. Les Armand Valois, Gustave Lavergne, Raoul Lefebvre, Édouard Martel, George Brazeau, etc. sont payés 2 $ par feu, soit 3 $ de moins que leur chef. Théophile Larivée est remplacé par son fils Charles-Auguste quelques années plus tard.

De la station de pompe aux trois casernes de Vaudreuil-Dorion

En 1921, une seule station de pompe à incendie et une brigade de 15 pompiers volontaires étaient suffisantes pour desservir la population de 1 112 habitants de Vaudreuil37. Avec la fusion de Vaudreuil et de Dorion en 1994 et l’augmentation importante de la population (37 469 habitants en 2016)38, le Service de sécurité incendie de la ville s’est considérablement développé. La Ville de Vaudreuil-Dorion possède maintenant trois casernes sur son territoire : la caserne no 11 du 85, route de Lotbinière, bâtie en 1966 à l’époque de la Ville de Dorion, la caserne no 13 du 4401, rue Séguin, datant de 2008 et réalisée selon les plans de la firme Dubé Matte Architectes (Jean-Claude Dubé et Claude Matte) et la caserne no 12 du 500, rue Forbes, construite en 2010-2011 d’après les plans de Chantal Paradis, architecte de la firme Dimension 3 Architecture39. Cette dernière caserne remplace l’ancienne caserne de 1974 de la rue Jeannotte devenue désuète et démolie pour faire place à l’agrandissement de l’aréna40.

Les trois casernes abritent 15 véhicules d’urgence, dont trois autopompes, deux autopompes-citernes et une échelle pompe de 100 pieds (30,5 mètres). Le service de sécurité incendie est composé d’un directeur, d’un chef aux opérations et à la prévention, de 3 capitaines, 6 lieutenants et 46 pompiers à temps partiel qui prennent en charge les opérations et répondent sur appel aux demandes d’assistance des citoyens41.

Références

  1. Afin d’en faciliter la lecture et pour respecter l’aspect historique du développement de la Ville de Vaudreuil-Dorion, les textes du circuit patrimonial utilisent l’appellation Vaudreuil ou Dorion lorsque les événements se déroulent avant 1994, année de la fusion des deux villes.

    De plus, pour citer ce circuit patrimonial, veuillez utiliser la formulation suivante : Sébastien Daviau, Jean-Luc Brazeau et Édith Prégent. Et si les bâtiments se racontaient. Circuit historique et architectural de Vaudreuil-Dorion. Vaudreuil-Dorion, Ville de Vaudreuil-Dorion / Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, 2017, <https://www.circuitvd.ca>, consulté le [ajouter la date].

  2. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1918-1950, séance du 26 septembre 1921.

  3. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Ville de Vaudreuil, 1974, résolutions 74-125, 74-127 et 74-206.

  4. Bureau de la publicité des droits de la circonscription foncière de Vaudreuil-Soulanges, no d’inscription 181824, m. not., Pierre-André Lamarre, 12 novembre 1982. Vente par la Corporation de la Ville Vaudreuil à Henri St-Jean, entrepreneur de Vaudreuil.

  5. Rappelons que le processus de création des municipalités au Québec s’est effectué sur une période d’une dizaine d’années (entre 1845 et 1855). Pour Vaudreuil, il existera deux entités juridiques : la municipalité de village de Vaudreuil (12 avril 1850) et la municipalité de paroisse de Saint-Michel de Vaudreuil (1er juillet 1855). Les deux fusionneront en 1963. Pour plus d’informations, à ce sujet voir : Serge Courville (dir.). Paroisses et municipalités de la région de Montréal au XIXe siècle (1825-1861). Répertoire documentaire et cartographique. Québec, Presses de l’Université Laval, 1988, p. 175-176.

  6. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1855-1875, séance du 2 février 1857.

  7. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1855-1875, séance du 13 février 1857.

  8. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1855-1875, séance du 27 juin 1857.

  9. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1855-1875, séance du 6 juillet 1857.

  10. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1855-1875, séance du 6 juillet 1857.

  11. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1855-1875, séance du 6 juillet 1857.

  12. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1918-1923, séance du 6 juin 1921.

  13. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1918-1923, séances du 6 juin 1921, 4 juillet 1921, 1er août 1921 et 11 août 1921 et plans d’assurance du village Saint-Michel de Vaudreuil réalisés par Chas. E. Goad Company, ingénieurs civils, Montréal, mars 1894, août 1913 et septembre 1923 (consultés le 20 décembre 2016 sur le site de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, <http://www.banq.qc.ca>).

  14. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1876-1891, séance du 10 mars 1888.

  15. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1876-1891, séance du 10 mars 1888.

  16. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1876-1891, séance du 10 mars 1888.

  17. Base de données des collections du Musée régional de Vaudreuil-Soulanges consultée le 21 décembre 2016.

  18. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1918-1923, séance du 6 juin 1921.

  19. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1918-1923, séances du 4 juillet 1921, 1er août 1921 et 11 août 1921.

  20. Bureau de la publicité des droits de la circonscription foncière de Vaudreuil-Soulanges, Registre, 41837 RB, m. not., Joseph-Bénoni-Alexandre Favreau, 10 septembre 1921 (enregistré le 14 septembre 1921). Vente par Théophile Larivée, marchand et tailleur de Vaudreuil, à la Corporation du village de Saint-Michel de Vaudreuil, p. 776, et Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1918-1950, séance du 11 août 1921.

  21. L’édifice de 1888 semble avoir été déménagé non loin de la nouvelle station de pompe puisque la résidence de Théophile Larivée était située sur le terrain voisin, soit le lot 23. Sa maison, qui lui servait également de commerce, se trouve toujours au 4, rue Saint-Michel. (Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1918-1950, séance du 11 août 1921).

  22. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1918-1950, séance du 2 avril 1922.

  23. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Ville de Vaudreuil, 1974, résolutions 74-125, 74, 126, 74-127 et 74-206.

  24. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Ville de Vaudreuil, 1974, résolutions 74-125, 74, 126, 74-127 et 74-206.

  25. Bureau de la publicité des droits de la circonscription foncière de Vaudreuil-Soulanges, Registre, no inscription 181 824, m. not., Pierre-André Lamarre., 10 novembre 1982. Vente par la Corporation de la Ville de Vaudreuil à Henri St-Jean, entrepreneur de Vaudreuil.

  26. Luc Noppen (dir.). L’aire de protection de l’église Saint-Michel de Vaudreuil. Montréal, Harcart, vol. 3, janvier 1983, n.p.

  27. Rapport du 20 septembre 1918 cité lors de la séance du 8 septembre 1921 (Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1918-1950, séance du 8 septembre 1921).

  28. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1918-1950, séance du 11 août 1921.

  29. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1918-1950, séance du 8 septembre 1921.

  30. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1918-1950, séance du 26 septembre 1921.

  31. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1918-1950, séance du 8 septembre 1921.

  32. Les informations de cette section proviennent des observations des photographies anciennes et contemporaines de la station de pompe à incendie (à l’exception de la note suivante). L’ensemble des photographies se retrouve dans le carrousel d’images.

  33. Luc Noppen (dir.). L’aire de protection de l’église Saint-Michel de Vaudreuil. Montréal, Harcart, vol. 3, janvier 1983, n.p.

  34. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1918-1950, séance du 4 novembre 1921.

  35. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1918-1950, séance du 8 novembre 1921.

  36. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1918-1950, séance du 2 avril 1922.

  37. Ville de Vaudreuil-Dorion, archives, Registre des procès-verbaux de la Corporation du village Saint-Michel de Vaudreuil, 1918-1950, séance du 2 avril 1922 et Michel Bélisle. De L’Isle-aux-Tourtes à Vaudreuil-Dorion. Vaudreuil-Dorion, Collectif pour l’histoire de Vaudreuil-Dorion, 2007, p. 383.

  38. Progression de la population de Vaudreuil-Dorion depuis 1995. Consulté le 20 décembre 2016 sur le site de la Ville de Vaudreuil-Dorion, <http://www.ville.vaudreuil-dorion.qc.ca>.

  39. Notons que les firmes d’architectes Dubé Matte Architectes et Dimensions 3 Architecture possèdent des bureaux à Vaudreuil-Dorion. L’ensemble des informations provient du site de la Ville de Vaudreuil-Dorion. Consulté le 20 décembre 2016 et le 9 mai 2017, <http://www.ville.vaudreuil-dorion.qc.ca>, de Martin Paré, ancien conseiller - Mise en valeur du territoire, Service du développement et de l'aménagement du territoire de la Ville de Vaudreuil-Dorion et site de Dimensions 3 Architecture. Consulté le 20 décembre 2016, <http://www.d3architecture.ca>.

  40. Communiqué de la Ville de Vaudreuil-Dorion, Une nouvelle caserne verra le jour à Vaudreuil-Dorion, 16 juillet 2010, communiqué de la Ville de Vaudreuil-Dorion, L’aréna fin prêt pour la nouvelle saison, 15 septembre 2010, Consulté le 20 décembre 2016 sur le site de la Ville de Vaudreuil-Dorion, <http://www.ville.vaudreuil-dorion.qc.ca> et Claude Robillard, Vaudreuil-Dorion : nouvelle caserne 12 maintenant opérationnelle, 14 novembre 2011. Consulté le 20 décembre 2016 sur le site de Zone911.com, <http://www.zone911.com>.

  41. Site de la Ville de Vaudreuil-Dorion. Consulté le 20 décembre 2016, <http://www.ville.vaudreuil-dorion.qc.ca>.