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John Beswarick Thompson, « Robert Unwin Harwood ». Consulté le 28 août 2017 sur le site du Dictionnaire biographique du Canada, <http://www.biographi.ca>; Fiches de Robert Unwin Harwood et de l’Immeuble Robert-Unwin-Harwood. Consultées le 28 août 2017 sur le site du Répertoire culturel du Québec, <http://www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca>; Fiche de l’Immeuble Robert-Unwin-Harwood. Consultées le 28 août 2017 sur le site du Vieux-Montréal, <http://www.vieux.montreal.qc.ca>; Fiche de Robert Unwin Harwood, Dictionnaire des parlementaires du Québec depuis 1764. Consulté le 28 août 2017, <http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/harwood-robert-unwin-3611/biographie.html>.
De plus, pour citer ce circuit patrimonial, veuillez utiliser la formulation suivante : Sébastien Daviau, Jean-Luc Brazeau et Édith Prégent. Et si les bâtiments se racontaient. Circuit historique et architectural de Vaudreuil-Dorion. Vaudreuil-Dorion, Ville de Vaudreuil-Dorion / Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, 2017, <http://www.circuitvd.ca>, consulté le [ajouter la date].
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John Beswarick Thompson, « Robert Unwin Harwood ». Consulté le 28 août 2017 sur le site du Dictionnaire biographique du Canada, <http://www.biographi.ca> et Portraits de William Harwood (1766-1826) et d’Elizabeth Harwood (1768-1847), base de données des collections du Musée régional de Vaudreuil-Soulanges consultée le 28 août 2017.
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John Beswarick Thompson, « Robert Unwin Harwood ». Consulté le 28 août 2017 sur le site du Dictionnaire biographique du Canada, <http://www.biographi.ca> et Annonce de la fin de l’association, le 31 décembre 1823, entre William Harwood et Edward Harwood, tous deux de Sheffield, et Robert Unwin Harwood de Montréal, partenaire de William Harwood, l’aîné, et de John Harwood, décédé, commerçant sous le nom de William Harwood and Sons à Sheffield et Montréal, publiée dans The London Gazette du premier janvier 1828 (le document est rédigé est anglais).
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L’entreprise William Harwood and Sons est très peu documentée. Selon l’auteur John Beswarick Thompson, à Montréal, la compagnie, utilise l’appellation de John Harwood and Company avant de changer en 1822 pour William Harwood and Sons; nom utilisé par l’entreprise familiale à Sheffield. Celle-ci est composée des marchands William Harwood (Sheffield), Edward Harwood (Sheffield), John Harwood (Montréal), William Harwood (Montréal) et Robert Unwin Harwood (Montréal). Les documents retrouvés laissent supposer qu’il s’agit du père, William Harwood (1766-1826), et de quatre de ses fils. À Sheffield, en 1822, le bâtiment a pour adresse le 44, Norfolk Street, tandis qu’à Montréal, l’immeuble est situé à l’angle des rues Saint-Paul et de la Commune. Cet édifice existe toujours (Immeuble Robert-Unwin-Harwood - 20-22, rue Saint-Paul) et a été construit en 1824-1825 pour Robert Unwin Harwood (William Harwood and Company). Avant cette date, la localisation de l’entreprise à Montréal n’a pas encore été retrouvée. La filiale montréalaise semble cesser ses activités à la fin des années 1830. La date précise n’est pas connue. Cela dit, en 1837, le Journal of the House of Assembly of the Upper Canada indique que Harwood and Sons de Montréal existe toujours (John Beswarick Thompson. Harwood, Robert Unwin. Document adressé à Henry de Lotbinière Harwood par John Beswarick Thompson, 10 mai 1973 (Centre d’archives de Vaudreuil-Soulanges, Fonds Henry de Lotbinière Harwood, P6/D1,2.1); Annonce de la fin de l’association, le 31 décembre 1823, entre William Harwood et Edward Harwood, tous deux de Sheffield, et Robert Unwin Harwood de Montréal, partenaire de William Harwood, l’aîné, et de John Harwood, décédé, commerçant sous le nom de William Harwood and Sons à Sheffield et à Montréal, publiée dans The London Gazette du 1er janvier 1828 (le document est rédigé est anglais); Edward Baines. History, Directory & Gazetteer of the County of York. Londons, Edward Baines, at the Leeds Mercury Office, 1822, p. 373; John Blackwell. The Sheffield Directory and Guide containing a History on the Town […] with Commercial Informations. Sheffield, John Blackwell, Iris Office, High Street, 1828, p. 376; Appendix to the Journal of the House of Assembly of the Upper Canada. Session 1836-1837. Toronto, 1837, Appendix to Report on Welland Canal, no 3, p. 9; Fiche de l’Immeuble Robert-Unwin-Harwood. Consultée le 28 août 2017 sur le site du Vieux-Montréal, <http://www.vieux.montreal.qc.ca>).
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Elle est prénommée Louise-Joseph ou Louise-Josephe lors de son baptême du 1er mars 1804 à Vaudreuil. On trouve à l’occasion de baptêmes, de mariages ou dans des actes notariés les prénoms Louise-Josette et Louise-Josephte, ce dernier étant celui le plus communément admis. Elle signait souvent Louisa J.
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Extrait du registre l’église Christ Church de Montréal (photocopie), Centre d’archives de Vaudreuil-Soulanges, Fonds Henry de Lotbinière Harwood, P6/D1,2.15. Notons que la sœur de Robert Unwin Harwood, Ann Harwood, était présente à la cérémonie et qu’elle a signé le document à titre de témoin.
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Afin d’en faciliter la lecture et pour respecter l’aspect historique du développement de la Ville de Vaudreuil-Dorion, les textes du circuit patrimonial utilisent l’appellation Vaudreuil ou Dorion lorsque les événements se déroulent avant 1994, année de la fusion des deux villes.
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Sur la gestion financière, les arrérages et leur recouvrement, on consultera les quelque 300 titres de renouvellement de concession accordés par la seigneuresse de Vaudreuil et son époux principalement en 1829 ainsi que le partage des seigneuries de Lotbinière, Rigaud et Vaudreuil entre les trois filles du défunt Michel-Eustache-Gaspard-Alain Chartier de Lotbinière. C’est dans cet acte de partage du 17 janvier 1829, notaire Joseph Papineau, que l’on apprend l’attribution, après enchères ou licitation, de la seigneurie de Vaudreuil à Louise-Josephte, sa fille aînée; on y apprend également la somme des arrérages dus par les censitaires dans chacune des trois seigneuries. On consultera également le terrier des mutations de la seigneurie de Vaudreuil (1771-1829), disponible sur microfilm au Centre d’archives de Vaudreuil-Soulanges, dans lequel on découvre les sommes dues par chaque censitaire et la date du recouvrement des arrérages.
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En 1853, Robert Unwin Harwood participa à la mise sur pied et à l'administration de la Compagnie du chemin de fer de Vaudreuil (Fiche de Robert Unwin Harwood. Consulté le 28 août 2017 sur le site de l’Assemblée nationale du Québec - Dictionnaire des parlementaires du Québec depuis 1764 - Robert Unwin Harwood, <http://www.assnat.qc.ca>).
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Sur la mutation d’une partie des seigneuries de Lotbinière et Vaudreuil en franc et commun soccage, voir : André LaRose. La seigneurie de Beauharnois, 1729-1867 : les seigneurs, l’espace et l’argent. Université d’Ottawa, thèse de doctorat, 1987, p. 230; Centre d’archives de Vaudreuil-Soulanges, microfilms, Terrier des mutations de la seigneurie de Vaudreuil 1829-1874; Centre d’archives de Vaudreuil-Soulanges, Fonds Henry de Lotbinière-Harwood, P6/B2; Centre d’archives de Vaudreuil-Soulanges. Fonds MRC de Vaudreuil-Soulanges, I05, 10 mars 1853, Plan de la seigneurie de Vaudreuil dessiné par John Nolph. Par tenure en franc et commun soccage, on entend la tenure d'un fief ou d'une terre concédé ou vendu à prix fixe, sans redevance (cens et rentes par exemple) et en toute propriété; ou le régime de propriété foncière en vigueur dans les townships au Canada sous le régime britannique et caractérisé par l'absence de droits seigneuriaux. Victor Morin. Seigneurs et censitaires, castes disparues. Montréal, Les Éditions des Dix, 1941, p. 93 et Benoît Grenier. Brève histoire du régime seigneurial. Montréal, Boréal, 2012, p. 221.
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Sur la vente des terres entre 1850 et 1869, puis jusqu’en 1895, on consultera principalement les greffes des notaires Joseph-Octave Bastien, fils, François-de-Sales Bastien et François-de-Sales-Octave Turcotte. Microfilms disponibles au Centre d’archives de Vaudreuil-Soulanges. Les actes du notaire Turcotte sont accessibles à sur le site de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, <http://bibnum2.banq.qc.ca/bna/notaires/index.html>. Les côtes ou concessions non encore établies en 1854 sont : Nouvelle-Lotbinière, Harwood, Saint-Robert, Saint-Pierre, Saint-Paul, Saint-François, Sainte-Angélique et Sainte-Élisabeth. Pour établir la liste complète des ventes immobilières effectuées par Louise-Josephte Chartier de Lotbinière, son époux et leurs enfants entre 1850 et 1900, on consultera les index nominatifs du Registre foncier du Québec en ligne, <https://www.registrefoncier.gouv.qc.ca/Sirf/Script/14_06_01-02/pf_14_06_01_reglr.asp>.
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Sur le moulin à farine de la pointe des Cascades, voir le protêt émis le 23 novembre 1841, notaire Nicolas Manthet, par Georges-René Saveuse de Beaujeu, seigneur de Soulanges et de Nouvelle-Longueuil, à l’encontre de la seigneuresse de Vaudreuil et de son mari suite à la construction du moulin en 1840 probablement. Le microfilm du greffe du notaire Manthet est disponible au Centre d’archives de Vaudreuil-Soulanges et une copie originale de l’acte est présente dans le Fonds De Beaujeu, P03/C.052 (Centre d’archives de Vaudreuil-Soulanges). Une note du recenseur du recensement de 1851 indique que le moulin ne fonctionne plus depuis 1849, sur cette note voir le recensement de 1851 (Recensement de 1851. Consultée le 28 août 2017 sur le site de Bibliothèque et Archives Canada, <http://data2.collectionscanada.gc.ca/e/e093/e002321505.jpg>).
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Sur les manoirs seigneuriaux de Vaudreuil, on se reportera à l’Ancien manoir seigneurial de la famille Chartier de Lotbinière (en préparation) dans la section Bâtiments et Lieux (Sébastien Daviau, Jean-Luc Brazeau et Édith Prégent. Et si les bâtiments se racontaient. Circuit historique et architectural de Vaudreuil-Dorion. Vaudreuil-Dorion, Ville de Vaudreuil-Dorion / Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, 2017, <http://www.circuitvd.ca>).
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À ce sujet voir : Fiche de Robert Unwin Harwood, Dictionnaire des parlementaires du Québec depuis 1764. Consulté le 28 août 2017, <http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/harwood-robert-unwin-3611/biographie.html>.
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Sur l’implication somme toute relative de Robert Unwin Harwood dans les troubles de 1837-1838, on consultera Robert-Lionel Séguin. Le mouvement insurrectionnel dans la Presqu’île de Vaudreuil 1837-1838. Montréal, Librairie Ducharme Limitée, 1955, p. 24-25; 90-92.
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Sur de nombreux aspects de la vie et de la carrière politique de Robert Unwin Harwood, sur l’appréciation de ses contemporains à titre de seigneur, d’homme d’affaires et de mécène, on consultera John Beswarick Thompson. The Life of Robert Unwin Harwood, Seigneur of Vaudreuil. S.l., non publié, 1969 (Centre d’archives de Vaudreuil-Soulanges dans le Fonds Henry de Lotbinière-Harwood. P6/J12).
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Base de données du cimetière Mont-Royal, section généalogie. Consulté le 28 août 2017 sur <https://www.mountroyalcem.com/index.php/fr/nos-services/genealogie.html>.