Et si les bâtiments se racontaient - Circuit historique et architectural de Vaudreuil-Dorion

 

École primaire Harwood

Entrée principale de l’école primaire Harwood. © Bernard Bourbonnais – Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, 2017.
L’école primaire Harwood. © Bernard Bourbonnais – Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, 2017.
L’école primaire Harwood vue de la 8e Avenue. © Bernard Bourbonnais – Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, 2017.
Concept proposé par les architectes de Belle & White et retenu pour la Dorion Gardens Protestant Elementary School. © Archives de la Commission scolaire Lester-B.-Pearson, Fonds Ile Perrot P.S. Mun., R-0532.
Concept proposé par les architectes de Belle & White pour la Dorion Gardens Protestant Elementary School (non retenu). © Archives de la Commission scolaire Lester-B.-Pearson, Fonds Ile Perrot P.S. Mun., R-0532.
Photographie de l’entrepreneur Roméo Pratt (à gauche). Avec François-Xavier Brock Fuger (Pratt & Fuger), il est à l’origine de la création du secteur du Dorion Garden. © La Presqu’île, 17 juillet 1958.
Extrait d’une publicité des entrepreneurs Pratt & Fuger proposant la construction de bungalows et l’achat de terrains dans le Dorion Garden. © La Presqu’île, 17 juillet 1958.
Plan d’implantation par l’architecte Morris Greenbaum pour l’agrandissement de l’école primaire Harwood en 1991. © Archives de la Commission scolaire Lester-B.-Pearson, A-30.
Plan d’implantation par l’architecte Richard Donald Tobin pour l’agrandissement de l’école primaire Harwood en 1995 (rectangle en bas à gauche). © Archives de la Commission scolaire des Trois-Lacs, Dossier école primaire Harwood, D3-113.
Enseignants à l’école primaire Harwood pour l’année scolaire 1996-1997. © Archives de la Commission scolaire Lester-B.-Pearson, A-30.

secteur Dorion Garden

Nom actuel École primaire Harwood

Fonction à l’origine école primaire; Dorion Gardens Protestant Elementary School

Adresse 186, 8e Avenue, Vaudreuil-Dorion

Date de construction 1966-1967

Architecte, firme ou entrepreneur William George de Belle et John Edric White, firme de Belle & White; Morris Greenbaum (rénovation de 1988 et agrandissement de 1991); Richard Tobin (agrandissement de 1995)

Type architectural Non résidentiel et institutionnel

Statut Propriété institutionnelle (Centre de services scolaire des Trois-Lacs)

Une école dans le Dorion Garden

Située dans le quartier domiciliaire Dorion Garden1, l’école primaire Harwood est construite en 1966-1967 d’après les plans des architectes William George de Belle et John Edric White (de Belle & White)2. L’édifice est conçu pour la Protestant School Municipality of Ile Perrot3. La Dorion Gardens Protestant Elementary School ouvre officiellement ses portes le 10 novembre 19674. Pour des raisons budgétaires et démographiques, l’école primaire ferme en juin 19815. Sept ans plus tard (septembre 1988) et entièrement rénovée, elle ouvre de nouveau ses portes sous l’appellation officielle « école primaire Harwood ». Elle devient alors l’une des cinq institutions de langue française de la Commission scolaire de Lakeshore6. Le premier juillet 1998, suite à la création des commissions scolaires linguistiques, l’école primaire Harwood passe sous la responsabilité de la Commission scolaire des Trois-Lacs (maintenant le Centre de services scolaire des Trois-Lacs)7.

Testez vos connaissances

Dans le secteur Dorion Garden, une des avenues porte le nom de Curé-David. Elle a été nommée ainsi pour quelle raison?

Avant L’école primaire Harwood en 1991. © Centre d’archives de Vaudreuil-Soulanges, Fonds Centenaire de Dorion, M01.

Après L’école primaire Harwood. © Bernard Bourbonnais – Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, 2017.

Histoire

Une école située au cœur d’un « jardin »

L’école primaire Harwood est située dans un secteur d’occupation urbaine récente, le Dorion Garden. Si ce nom apparaît à la fin des années 19498, il faut attendre l’arrivée d’un grand projet domiciliaire en 1956-1958 pour que cette appellation se généralise9. Conçu et réalisé par les entrepreneurs Roméo Pratt et François-Xavier Brock Fuger (Pratt & Fuger) de Pointe-Claire, il s’agit d’un vaste chantier qui compte plus de 1 200 maisons. Sur un terrain de 350 arpents, situé entre les voies ferrées du Canadien National et du Canadien Pacifique, Pratt & Fuger proposent aux futurs propriétaires des bungalows de six pièces pour un prix d’achat variant entre 9 800 $ et 10 500 $. Les terrains, mesurant en moyenne 60 pieds (18,2 mètres) par 100 pieds (30,5 mètres), vont suivre le parcours de rues larges, incurvées et bordées d’« érables canadiens ». Apparenté au concept anglais de la cité-jardin (garden city), ce projet novateur s’inscrit dans une nouvelle approche urbanistique qui sera par la suite adoptée par de nombreuses villes et banlieues du Québec à la fin des années 195010. Dès la conception du projet, à la demande de la Société centrale d’hypothèques et de logement, des terrains sont réservés pour l’aménagement d’un parc, de terrains de jeux et d’une école11.

Le choix et l’achat du terrain pour l’école du Dorion Garden

Le terrain choisi (partie du lot no 1591) pour la future école se trouve à l’extrémité du nouveau développement de Pratt & Fuger dans la courbe de la 8e Avenue. Possédant un relief qu’il n’est pas nécessaire d’aplanir entièrement, cet emplacement permet également d’y adjoindre un parc (parc Dorion-Gardens) et des aires de jeux12. Le devant du terrain, en bordure de la 8e Avenue, est occupé par neuf bungalows, alors que le bâtiment scolaire est situé en retrait13. Le choix de l’emplacement, la présence des neuf maisons en façade et la courbure de la 8e Avenue inspirent fortement les deux architectes qui dessineront les plans de la future école de Dorion Garden quelques années plus tard (à ce sujet, voir l’onglet Architecture).

Si la première concession de cette terre remonte à 1752, au 20e siècle, elle est cultivée et occupée par la famille d’Odilon Besner et Angélina Lalonde14. C’est leur fils, Charles-Auguste Besner qui la vend en 1954 à Roméo Pratt et François-Xavier Brock Fuger (1919-1966)15. Il s’ensuit une série de transactions (14 en tout), qui conduisent à la vente du terrain le 17 décembre 1960 par Roméo Pratt à Georges Lefebvre, agent immobilier de Sainte-Anne-de-Bellevue16. Celui-ci le vend la journée même à la Protestant Schools Commissioners of the Municipality of Dorion and Isle Cadieux pour la somme de 40 512,64 $17. Rappelons que cette commission scolaire est annexée à la Protestant School Municipality of Ile Perrot peu de temps après, soit le 1er juillet 196118.

La Dorion Gardens Protestant Elementary School (1967-1981)

Suite à ces nombreuses transactions, il faut attendre sept ans avant que l’école soit finalement construite (nouveau montage financier, modifications des priorités, etc.). Les plans du bâtiment scolaire sont confiés aux architectes William George de Belle (1906-1975) et John Edric White (de Belle & White)19. Le choix de ces deux architectes, respectivement de Westmount et de Montréal, n’est pas fortuit puisqu’ils ont réalisé, quatre ans plutôt (1963), les plans et devis de l’Edgewater Elementary School située à Pincourt pour la Commission scolaire de l’île Perrot20.

Portant officiellement le nom de Dorion Gardens Protestant Elementary School, elle accueille, dès la rentrée scolaire de septembre 1967, 234 élèves répartis dans 14 classes21. Les niveaux d’enseignement qui y sont offerts couvrent de la maternelle à la septième année22. L'école est officiellement inaugurée le 10 novembre 1967.

Une centralisation et la fermeture de la Dorion Gardens Protestant Elementary School

En 1971, afin de réduire le nombre des commissions scolaires, le gouvernement du Québec crée la loi 27 qui regroupe les commissions scolaires locales chargées des écoles primaires23. La Protestant School Municipality of Ile Perrot est alors fusionnée avec les commissions scolaires protestantes de Hudson et Soulanges24. Le 15 juillet 1972, elles adoptent le nom commun de Harwood School Municipality25. En vertu de la même loi, la nouvelle commission scolaire Harwood devient membre de la Commission scolaire de Lakeshore26. C’est pourquoi, trois ans plus tard (1975), la Commission scolaire de Lakeshore prend entièrement en charge les 13 écoles primaires de l’« ancienne commission scolaire Harwood » à la suite de l’important déficit accumulé par cette dernière27.

L’« ancienne commission scolaire Harwood » n’est pas seule dans cette situation. En effet, après le baby-boom, le Québec connaît, à partir de 1966, une baisse démographique marquée qui se répercute sur l’ensemble du réseau scolaire (diminution du nombre d’élèves et des revenus provenant des taxes scolaires)28. Le gouvernement du Québec réduit également les subventions aux commissions scolaires qui doivent à leur tour revoir leurs budgets. C’est ainsi que, devant l’obligation de réduire son déficit de 1 300 000 $, la Commission scolaire de Lakeshore décide de fermer quatre écoles primaires situées sur son territoire, dont la Dorion Gardens School le 30 juin 198129. Les élèves sont alors répartis dans les écoles Edgewater (Pincourt) et Mount Pleasant (Hudson)30.

La réouverture et un nouveau nom : l’école primaire Harwood

L’école du Dorion Garden est restée fermée durant sept ans. En 1987, devant les besoins grandissants de sa clientèle non catholique francophone ou désireuse de recevoir une éducation en français, la Commission scolaire de Lakeshore décide d’ouvrir cinq écoles de langue française (une école secondaire et quatre écoles primaires)31. À cette fin, on décide de rénover l’école Dorion Gardens Protestant Elementary School qui n’a pas été utilisée depuis 198132. Afin de souligner sa nouvelle orientation linguistique, elle adopte le nom d’école primaire Harwood33. Prête pour la rentrée scolaire au mois d’août, elle est inaugurée officiellement le 30 septembre 1988 en présence d’Henry de Lotbinière Harwood34. Celui-ci est l’un des descendants du marchand et homme politique anglais Robert Unwin Harwood (1798-1863). L’école primaire est nommée ainsi en son honneur. Robert Unwin Harwood était également l’époux de Louise-Josephte Chartier de Lotbinière (1803-1869), seigneuresse de la seigneurie de Vaudreuil.

Deux agrandissements

Très rapidement, il apparaît clairement que les 14 salles de classe de l’école primaire Harwood ne seront pas assez nombreuses pour accueillir l’ensemble des élèves de son territoire. En effet, l’école primaire Harwood couvre la région de Vaudreuil-Soulanges ainsi qu’une partie de Senneville et de Sainte-Anne-de-Bellevue35. En 1991, on procède à un premier agrandissement qui permet de loger plus adéquatement le nombre grandissant d’enfants avec l’ajout de sept classes, une maternelle et un local pour le service de garde36. Entre 1988 et 1991, le nombre d’élèves passe de 275 à 55237. À peine quatre ans plus tard (1995), une nouvelle annexe de deux classes est ajoutée à l’école, dont les besoins en espaces supplémentaires ne cessent de croître38.

Une nouvelle commission scolaire et un nouvel agrandissement

L’adoption de la Loi 118 en 1998, qui abolit le statut confessionnel des écoles publiques au Québec et crée les commissions scolaires linguistiques, a un impact important sur l’école primaire Harwood. En effet, celle-ci passe sous la responsabilité de la Commission scolaire des Trois-Lacs (francophone) qui s’occupait déjà des écoles catholiques (primaires et secondaires) situées dans les 23 municipalités de la région de Vaudreuil-Soulanges39. Le 15 juin 2020, la Commission scolaire des Trois-Lacs prend le nom de Centre de services scolaire des Trois-Lacs. La Commission scolaire de Lakeshore, quant à elle, change de nom pour celui de « Commission scolaire Lester-B.-Pearson » (1er juillet 1998). Elle couvre toujours le même territoire de l’ouest de l’île de Montréal (incluant Vaudreuil-Soulanges), mais elle ne supervise dorénavant que les écoles de langue anglaise40.

L’école primaire Harwood en 2016 et les autres

En date du 30 septembre 2016, le nombre d’élèves inscrits à de l’école primaire Harwood était de 541 élèves répartis dans 25 classes dont deux sont installées dans des locaux modulaires construits en 2009-201041. Aujourd’hui, l’école Harwood fait partie des huit écoles primaires situées à Vaudreuil-Dorion : école Saint-Michel (francophone - 1953-1954); école Papillon-Bleu, pavillon Sainte-Trinité (francophone - 1954-1955); école Sainte-Madeleine (francophone - 1960); école Papillon-Bleu, pavillon Saint-Jean-Baptiste (francophone - 1961); Pierre Elliott Trudeau Elementary School (anglophone - 2001); école de l'Hymne-au-Printemps (francophone - 2012); école Brind’Amour (francophone - 2014); école des Légendes (francophone - 2021)42.

Architecture

Une école tout en courbe

Approchés dès juillet 1965, les architectes William George de Belle et John Edric White proposent trois concepts différents pour la future école Dorion Gardens Protestant Elementary School. De Belle et White s’inspirent fortement de l’emplacement du terrain où sera implanté le bâtiment scolaire. En raison du tracé recourbé de la 8e Avenue faisant face à l’école, ils soumettent trois plans d’édifices dont les formes et le positionnement tiennent compte de cette réalité43. La proposition retenue par la Commission scolaire en mars 1966 présente un bâtiment incurvé (à l’inverse de la 8e Avenue)44. L’édifice est implanté en retrait de la rue. Il ne possède qu’un niveau (rez-de-chaussée) et sa toiture est plate. L’observateur doit s’avancer considérablement avant de prendre la pleine mesure de la bâtisse dont la façade est dominée par un immense portique en saillie. En utilisant un large couloir, l’entrée principale conduit à l’élément central du bâtiment qui est le gymnase situé à l’arrière de l’école. Les 14 salles de classe sont situées dans la section arrondie du bâtiment. Contrairement au concept initial, elles sont réparties de façon symétrique de chaque côté du couloir central débouchant sur le gymnase.

La construction de la Dorion Gardens Protestant Elementary School

Les travaux de construction de l’édifice sont confiés à [Maurice] Semeteys Contruction de Pointe-Claire pour la somme de 334 422 $45. Pour des raisons d’économie, on confie la confection des poutres de la charpente de l’école à l’Economic Structural Steel Company au lieu de la Dominion Bridge Steel Company46. Cette ossature d’acier sert d’assise aux blocs de béton qui composent les murs et les divisions de l’école. Les sections extérieures situées entre les salles de classe, accueillant en moyenne six fenêtres, sont soulignées par un parement de briques beiges / jaunes. Les travaux débutent en octobre 1966 et ils seront terminés à temps pour la rentrée scolaire de septembre 196747. C'est l'entrepreneur George Lalond qui complètera les travaux de l'école suite à la faillite de Semeteys Contruction en juin 1967. Le coût total de la construction de l’école, incluant les fournitures, les services professionnels et l’aménagement paysager, est évalué à environ 475 000 $48.

La rénovation de 1988

En prévision de la réouverture de l’ancienne Dorion Gardens School en septembre 1988, la Commission scolaire de Lakeshore entreprend de rénover l’édifice qui portera désormais le nom d’école primaire Harwood. Les commissaires mandatent l’architecte Morris Greenbaum de Westmount afin qu’il dresse la liste des réparations et des changements à effectuer sur le bâtiment qui n’est plus utilisé depuis 198149. Le chantier est confié aux entrepreneurs Marien-Oldham Limitée de Ville Mont-Royal50. Ceux-ci réalisent l’essentiel des travaux à l’intérieur et à l’extérieur de l’école (peinture, plâtre, béton, menuiserie, etc.) alors que la réfection de la toiture, des fenêtres, de la plomberie, de l’électricité, de la ventilation, etc. est confiée à des entreprises spécialisées51. Le coût total de la rénovation est  estimé à 1 380 000 $52.

Les trois agrandissements (1991, 1995 et 2009)

Malgré les travaux majeurs de rénovation de l’école primaire Harwood, il est certain que les 14 salles de classe ne peuvent accueillir le nombre croissant d’élèves. Seulement deux ans après sa réouverture, il est décidé d’agrandir encore le bâtiment. Le projet est une fois de plus confié à l’architecte Morris Greenbaum53. Celui-ci, de manière fort ingénieuse, propose un agrandissement qui s’intègre parfaitement avec l’édifice original de 1966-1967. Les sept salles de classe supplémentaires, la maternelle et les locaux du service de garde seront disposés à l’arrière de l’école, sur le pourtour du gymnase. Les élèves accèderont à leur classe par le biais d’un long couloir en forme de U. Des aires de stationnement pour le personnel enseignant et pour les autobus scolaires sont également aménagées. Les travaux débutent en avril 1991 et sont terminés à temps pour la rentrée du 9 septembre. Les coûts de l’agrandissement atteignent  1 385 000 $, dont 1 260 000 $ provient du gouvernement du Québec54.

Toujours par manque d’espace, on procède quatre années plus tard (1995) à un nouvel agrandissement. Beaucoup plus modeste, cette annexe est dessinée par l’architecte montréalais Richard Donald Tobin. Réalisé par la compagnie AGL Construction inc., l’agrandissement est situé à gauche de l’école et relié par l’arrière à l’ajout de 1991. Le coût des travaux s’élève à la somme de 294 020 $55.

Le dernier agrandissement est réalisé en 2009. Des locaux modulaires sont installés à l’arrière de l’école. De formes rectangulaires, ils complètent le prolongement des agrandissements de 1991 et 199556. Les modules accueillent deux nouvelles salles de classe pour atteindre un total de 25 classes aujourd’hui57.

Personnages

Informations complémentaires

Pierre Elliott Trudeau Elementary School

Avec la fermeture de la Dorion Gardens Protestant Elementary School en 1981, il faut attendre jusqu’en 2001 avant qu’une nouvelle école primaire de langue anglaise soit ouverte à Vaudreuil-Dorion58. Sous la supervision de la commission scolaire linguistique Lester-B.-Pearson, c’est la firme montréalaise Leclerc & Associés Architectes qui est mandatée pour dessiner les plans de la nouvelle école. Situé au 490, rue Bourget, le bâtiment a été nommé en l’honneur de l’ancien premier ministre du Canada, Pierre Elliott Trudeau (1919-2000), décédé l’année précédant la construction de l’édifice. En 2015-2016, l’école accueille 404 élèves répartis de la maternelle à la sixième année. Pour la même période, les enseignants sont au nombre de 25.

Le territoire couvert par la Protestant School Municipality of Ile Perrot en 1966

À l’époque de la construction de la Dorion Gardens Protestant Elementary School, la Protestant School Municipality of Ile Perrot dessert les municipalités de Pincourt, Notre-Dame-de-l’Île-Perrot, L’Île-Perrot, « Windmill Point », Terrasse-Vaudreuil, Dorion, Vaudreuil, Vaudreuil-sur-le-Lac et L’Île-Cadieux59. Pour l’année scolaire 1966-1967, elle perçoit des taxes scolaires pour un montant total de 205 692 $60. C’est Pincourt et Dorion qui contribuent  le plus  avec  des  sommes respectives de 97 005 $ et  35 797 $. Vaudreuil vient au troisième rang avec 20 387 $.

Références

  1. Afin d’en faciliter la lecture et pour respecter l’aspect historique du développement de la Ville de Vaudreuil-Dorion, les textes du circuit patrimonial utilisent l’appellation Vaudreuil ou Dorion lorsque les événements se déroulent avant 1994, année de la fusion des deux villes.

    De plus, pour citer ce circuit patrimonial, veuillez utiliser la formulation suivante : Sébastien Daviau, Jean-Luc Brazeau et Édith Prégent. Et si les bâtiments se racontaient. Circuit historique et architectural de Vaudreuil-Dorion. Vaudreuil-Dorion, Ville de Vaudreuil-Dorion / Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, 2017, <https://www.circuitvd.ca>, consulté le [ajouter la date].

  2. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Fonds Ile Perrot, P.S. Mun., R-0532, Proposed plans Dorion School, de Belle & White Architects.

  3. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux de la Protestant School Municipality of Ile Perrot, du 17 juillet 1965 au 28 juin 1966, séance du 20 juillet 1965 et Bureau de la publicité des droits de la circonscription foncière de Vaudreuil-Soulanges, no d’inscription 107327, 30 mars 1967. Avis donné par la compagnie Economic Structural Steel Inc. de Montréal qui a effectué des travaux de structures d’acier pour l’École élémentaire de Dorion appartenant à la Protestant School Municipality of Ile Perrot.

  4. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux de la Protestant School Municipality of Ile Perrot, du 20 juin 1967 au 17 juin 1969, séance du 3 octobre 1967.

  5. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux du Conseil des commissaires de la Commission scolaire de Lakeshore, du 9 mars au 22 juin 1981, séance du 9 mars 1981.

  6. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux de la Protestant School Municipality of Ile Perrot, du 20 juin 1967 au 17 juin 1969, séance du 3 octobre 1967 et Claire Sabourin et al. Dorion, au fil des ans. Livre souvenir du Centenaire de Dorion 1891-1991. Dorion, Ville de Dorion, 1991, Sco 27.

  7. Centre de services scolaire des Trois-Lacs, archives, Procès-verbaux du Conseil provisoire. Commission scolaire francophone, séance du 3 février 1998, CP 98-02-79 et Mise en place des centres de services scolaires depuis le 15 juin 2020. Consulté le 23 février 2022 sur le site du ministère de l'Éducation et du Ministre de l'Enseignement supérieur <http://www.education.gouv.qc.ca/mise-en-place-des-centres-de-services-scolaires/>. 

  8. Michel Bélisle. De L’Isle-aux-Tourtes à Vaudreuil-Dorion. Vaudreuil-Dorion, Collectif pour l’histoire de Vaudreuil-Dorion, 2007, p. 307.

  9. L’ensemble des informations de ce paragraphe proviennent de : Annonce du projet domicilier du Dorion Garden, La Presqu’île, vendredi 24 août 1956, p. 15 et Anonyme, « Notre supplément sur l’habitation consacré exclusivement au nouveau centre domiciliaire Dorion Garden », La Presqu’île, jeudi 17 juillet 1958, p. 11-13.

  10. Pour plus d’informations, voir les trois capsules vidéo sur le Dorion Garden dans la section Secteur Dorion Garden.

  11. Anonyme, « Notre supplément sur l’habitation consacré exclusivement au nouveau centre domiciliaire Dorion Garden », La Presqu’île, jeudi 17 juillet 1958, p. 11.

  12. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Fonds Ile Perrot P.S. Mun., R-0532, Relevés topographiques de Delorme, Carrier, Bourbonnais pour la Protestant School Municipality of Ile Perrot (Dorion School), février 1965.

  13. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Fonds Ile Perrot P.S. Mun., R-0532, Jacques Demers, Subdivision on Part of Lot 1591 Official Cadastre of the Parish of St-Michel de Vaudreuil, 17 janvier 1967.

  14. Centre d’archives de Vaudreuil-Soulanges, microfilms, m. not., François Simonnet, 5 mars 1752. Concession d’une terre à François Robidou par Joseph Gaucher marchand négociant pour Mr Rigaud Chevalier seigneur de Vaudreuil Chevalier de l’ordre de Saint-Louis [Pierre de Rigaud de Vaudreuil de Cavagnial (1698-1778)] et Bureau de la publicité des droits de la circonscription foncière de Vaudreuil-Soulanges, no d’inscription 40963, m. not., Joseph-Bénoni-Alexandre Favreau, 7 juin 1920. Vente par Charles Besner, hôtelier de Dorion, et Joseph-Napoléon Legault, notaire, à Odilon Besner, cultivateur de Vaudreuil.

  15. Bureau de la publicité des droits de la circonscription foncière de Vaudreuil-Soulanges, no d’inscription 74129, m. not., Ubald Larivée, 26 janvier 1954. Vente par Charles-Auguste Besner, cultivateur de la paroisse de Vaudreuil, à F. X. B. Fuger et Roméo Pratt, agents d’immeubles de Pointe-Claire.

  16. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives,  Fonds Ile Perrot P.S. Mun., R-0532, Certificat de recherche pour le lot no 1591 de la paroisse de Vaudreuil de novembre 1882 à ce jour. Document officiel réalisé par le notaire Édouard Béliveau, registraire au Bureau d’enregistrement du comté de Vaudreuil le 20 décembre 1960.

  17. Bureau de la publicité des droits de la circonscription foncière de Vaudreuil-Soulanges, no d’inscription 89438, m. not., Édouard Béliveau, 7 décembre 1960. Vente par Georges Lefebvre, agent immobilier de Sainte-Anne-de-Bellevue, à The Protestant Schools Commissioners of the Municipality of Dorion and Isle Cadieux. Document en anglais.

  18. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux de la Protestant School Municipality Dorion & Isle Cadieux, du 25 mai au 30 juin 1961, séances du 29 mai 1961 et du 6 juin 1961.

  19. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Fonds Ile Perrot P.S. Mun., R-0532, Proposed plans Dorion School, de Belle & White Architects et Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux de la Prostestant School Municipality of Ile Perrot, du 17 juillet 1965 au 28 juin 1966, séance du 20 juillet 1965.

  20. Luc Noppen, Nadine Maltais et Édith Prégent (dir.). Base de données du patrimoine bâti de la MRC de Vaudreuil-Soulanges. Vaudreuil-Dorion. Chaire de recherche du Canada en patrimoine urbain ESG UQAM \ MRC de Vaudreuil-Soulanges \ Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, version décembre 2015.

  21. Claire Sabourin et al. Dorion, au fil des ans. Livre souvenir du Centenaire de Dorion 1891-1991. Dorion, Ville de Dorion, 1991, Sco 27 et Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux de la Protestant School Municipality of Ile Perrot, du 2 août 1966 au 20 juin 1967, séance du 23 août 1966.

  22. Claire Sabourin et al. Dorion, au fil des ans. Livre souvenir du Centenaire de Dorion 1891-1991. Dorion, Ville de Dorion, 1991, Sco 27.

  23. Pour les niveaux secondaires, cette mesure est apparue dès 1964 (Loi 60) pour l’ensemble du territoire québécois et a créé les commissions scolaires régionales (55 catholiques et 9 protestantes). Sur le territoire de Vaudreuil-Soulanges, on retrouve la Commission scolaire régionale de Vaudreuil-Soulanges (catholique) alors que les écoles secondaires protestantes sont rattachées à la Commission scolaire régionale de Lakeshore (Mario Filion et al. Histoire du Haut-Saint-Laurent. Sainte-Foy, Presses de l’Université Laval, 2000, p. 301-302).

  24. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux de la School Municipality of Lakeshore [Harwood School Municipality], du 19 juin 1972 au 21 juin 1973, séance du 10 juillet 1972.

  25. À l’origine, le gouvernement leur donne le nom de Lakeshore, mais devant la confusion possible avec la Commission scolaire de Lakeshore (ouest de l’île de Montréal), les commissaires adoptent le nom de Harwood (Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux de la School Municipality of Lakeshore [Harwood School Municipality], du 19 juin 1972 au 21 juin 1973, séance du 15 juillet 1972).

  26. À cette occasion, les commissaires demandent au gouvernement du Québec de ne pas être rattaché à la Protestant School Board of Chateauguay comme il était prévu, mais plutôt de se joindre (à titre de membre) à la Commission scolaire de Lakeshore. Rappelons que la Commission scolaire de Lakeshore s’occupait déjà des niveaux secondaires anglophones dans Vaudreuil-Soulanges depuis 1964 (Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux de la School Municipality of Lakeshore [Harwood School Municipality], du 19 juin 1972 au 21 juin 1973, séance du 17 juillet 1972 et (Mario Filion et al. Histoire du Haut-Saint-Laurent. Sainte-Foy, Presses de l’Université Laval, 2000, p. 301).

  27. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux du Council of Commissioners of the Lakeshore School Board, du 7 juillet 1975 au 1er mars 1977, séances du 3 novembre, du 17 décembre 1975 et du 1er novembre 1976.

  28. En 1978, la Dorion Gardens School est occupée à 51,5 % de sa capacité, tout comme Edgewater School située à Pincourt dont le taux d’occupation est à peine plus élevé, soit 52,8 % (Ken Ernhofer, « Lakeshore parents to 1-year warning before Protestant board closes schools », The Montreal Gazette, 8 août 1978 et Jean-Pierre Charland. Histoire de l’éducation au Québec. De l’ombre du clocher à l’économie du savoir. Saint-Laurent, Éditions du renouveau pédagogique, 2005, p. 168).

  29. Les autres écoles : Oak Ridge (Baie-D'Urfé), Briarwood (Pierrefonds) et Lakeside Heigths (Pointe-Claire) (Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux du Conseil des commissaires de la Commission scolaire de Lakeshore, du 9 mars au 22 juin 1981, séance du 9 mars 1981).

  30. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux du Conseil des commissaires de la Commission scolaire de Lakeshore, du 9 mars au 22 juin 1981, séance du 9 mars 1981.

  31. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux du Conseil des commissaires de la Commission scolaire de Lakeshore, du 9 février au 24 avril 1987, séance du 9 février 1987.

  32. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux du Conseil des commissaires de la Commission scolaire de Lakeshore, du 9 février au 24 avril 1987, séance du 27 mars 1987.

  33. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux du Conseil des commissaires de la Commission scolaire de Lakeshore, du 26 janvier au 22 juin 1988, séance du 26 février 1988 et Anne Leigh, « L’école Dorion Gardens pourrait s’appeler École primaire Harwood », Première Édition, 6 mars 1988.

  34. Michel Bélisle, « École primaire Harwood. Les descendants du seigneur Harwood procèdent à la plantation d’un arbre », Première Édition, 2 novembre 1988.

  35. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux du Conseil des commissaires de la Commission scolaire de Lakeshore, du 26 janvier au 22 juin 1988, séance du 26 février 1988.

  36. Propos du directeur de l’école primaire Harwood, Léo Lafrance, rapportés dans : Anonyme, « Celebration of the new extension at Ecole Primaire Harwood », Hudson Gazette, 11 décembre 1991.

  37. Propos du directeur de l’école primaire Harwood, Léo Lafrance, rapportés dans : Anonyme, « Celebration of the new extension at Ecole Primaire Harwood », Hudson Gazette, 11 décembre 1991.

  38. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux du Conseil des commissaires de la Commission scolaire de Lakeshore, du 11 juillet au 19 décembre 1995, séance du 11 juillet 1995.

  39. Commission scolaire des Trois-Lacs, archives, Procès-verbaux du Conseil provisoire. Commission scolaire francophone, séance du 3 février 1998, CP 98-02-79.

  40. Mario Filion et al. Histoire du Haut-Saint-Laurent. Sainte-Foy, Presses de l’Université Laval, 2000, p. 302. Si les commissions scolaires francophones deviennent des centres de services scolaires le 15 juin 2022, dans le réseau anglophone, les commissions scolaires sont maintenues (Mise en place des centres de services scolaires depuis le 15 juin 2020. Consulté le 23 février 2022 sur le site du ministère de l'Éducation et du Ministre de l'Enseignement supérieur <http://www.education.gouv.qc.ca/mise-en-place-des-centres-de-services-scolaires/>).

  41. Informations fournies le 21 juin 2017 par monsieur Marc-André Bellerose, archiviste au Service du secrétariat général et des communications au Centre de services scolaire des Trois-Lacs.

  42. Informations fournies par monsieur Marc-André Bellerose, archiviste au Service du secrétariat général et des communications au Centre de services scolaire des Trois-Lacs et par mesdames Julie Duchesne et Debbie Kane, techniciennes en documentation aux Services juridiques et affaires corporatives de la Commission scolaire Lester-B.-Pearson.

  43. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Fonds Ile Perrot P.S. Mun., R-0532, Proposed plans Dorion School, de Belle & White Architects.

  44. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux de la Protestant School Municipality of Ile Perrot, du 14 juillet 1965 au 28 juin 1966, séance du 15 mars 1966.

  45. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux de la Protestant School Municipality of Ile Perrot, du 14 juillet 1965 au 28 juin 1966, séance du 28 juin 1966.

  46. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux de la Protestant School Municipality of Ile Perrot, du 2 août 1966 au 20 juin 1967, séance du 28 juillet 1966 et Bureau de la publicité des droits de la circonscription foncière de Vaudreuil-Soulanges, no d’inscription 107327, 30 mars 1967. Avis donné par la compagnie Economic Structural Steel Inc. de Montréal qui a effectué des travaux de structures d’acier pour l’École élémentaire de Dorion appartenant à la Protestant School Municipality of Ile Perrot pour la somme de 33 150 $.

  47. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux de la Protestant School Municipality of Ile Perrot, du 20 juin 1967 au 17 juin 1969, séances du 20 juin et 3 octobre 1967.

  48. Le montant réel et final de la construction de l’école n’a pas été retrouvé dans les procès-verbaux. Cela dit, en janvier 1968, le bâtiment est évalué à 400 000 $ et son contenu à 35 000 $ (Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux de la Protestant School Municipality of Ile Perrot, du 2 août 1966 au 20 juin 1967, séance du 23 août 1966 et Procès-verbaux de la Prostestant School Municipality of Ile Perrot, du 20 juin 1967 au 17 juin 1969, séance du 9 janvier 1968).

  49. Centre de services scolaire des Trois-Lacs, archives, Dossier école primaire Harwood, D3-113, Liste des travaux à effectués, résumé de la réunion du 9 mars 1988 en présence de M. Denis Dupont de la Commission scolaire Lakeshore, M. Kevin Irbus pour Morris Greenbaum Architect, M. G. Beaulieu et M. J. Masson pour Marien-Oldham Ltd.

  50. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Dossier L31-05, 29 janvier 1988. Contrat entre Lakeshore School Board et Marien-Oldham Limited.

  51. Centre de services scolaire des Trois-Lacs, archives, Dossier école primaire Harwood, D3-113, 29 février 1988. Liste des soumissionnaires, montants des soumissions et soumissionnaires retenus.

  52. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Dossier Histoire de l’école primaire Harwood, A-30, 9 septembre 1988, Lettre de M. Joël Hartt, président de la Commission scolaire de Lakeshore à l’honorable Claude Ryan, ministre de l’Éducation, le remerciant pour la contribution du gouvernement du Québec (250 000 $) « pour défrayer une partie du coût de la rénovation de l’école primaire Harwood (anciennement Dorion Gardens). Les travaux sont maintenant complétés et l’école a ouvert ses portes aux élèves le 29 août dernier [1988]. Le coût global du projet est estimé à 1 380 000 $ […] ».

  53. Centre de services scolaire des Trois-Lacs, archives, Dossier école primaire Harwood, D3-113, 28 janvier 1991, Cahier des charges pour l’agrandissement de l’école Harwood par l’architecte Morris Greenbaum et les ingénieurs en structure Ernest A. Dahl et associés.

  54. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Dossier Histoire de l’école primaire Harwood, A-30, 3 décembre 1991, Anonyme, Commission scolaire de Lakeshore, État de la situation. Agrandissement de l’école primaire Harwood.

  55. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux du Conseil des commissaires de la Commission scolaire de Lakeshore, du 11 juillet au 19 décembre 1995, séance du 11 juillet 1995 et Dossier R-0665, École primaire Harwood, Réparation et destination des immeubles, 28 septembre 1995, lettre de M. Christopher Campbell, directeur général adjoint, à Mme Jacinthe Therrien du ministère de l’Éducation du Québec résumant les éléments financiers « reliés aux démarches entreprises par la commission scolaire Lakeshore afin de combler des besoins urgents pour des places élèves à l’école élémentaire Harwood ».

  56. Informations fournies le 21 juin 2017 par monsieur Marc-André Bellerose, archiviste au Service du secrétariat général et des communications au Centre de services scolaire des Trois-Lacs.

  57. Informations fournies le 21 juin 2017 par monsieur Marc-André Bellerose, archiviste au Service du secrétariat général et des communications au Centre de services scolaire des Trois-Lacs.

  58. Informations fournies par madame Debbie Kane, technicienne en documentation aux Services juridiques et affaires corporatives de la Commission scolaire Lester-B.-Pearson.

  59. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux de la Prostestant School Municipality of Ile Perrot, du 2 août 1966 au 20 juin 1967, séance du 18 avril 1967.

  60. Commission scolaire Lester-B.-Pearson, archives, Procès-verbaux de la Prostestant School Municipality of Ile Perrot, du 2 août 1966 au 20 juin 1967, séance du 18 avril 1967.